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5 façons de communiquer avec son cheval

(que tout cavalier averti devrait connaître)

Ceci est un article invité écrit par Valérie Patole du site go-galop.

Je lui laisse la parole.

« Boh, encore une fois, rien de bien grave ! » pensez-vous en sautillant sur place ! C’est que Tornado a écrasé votre pied au passage ! Vous n’avez rien pu faire pour l’arrêter. Il fait 7 fois votre poids !!

De tels incidents se produisent presque tous les jours, maintenant…

Il vous bouscule pour rentrer dans son box. Le foin étant déjà servi.

Il ne daigne même pas vous regarder lorsque vous le longez.

Il vous menace, oreilles en arrière et dents en avant, à l’heure des rations.

Il frotte sa tête contre vous. « Roh, il m’aime bien ! », pensez-vous à ce moment-là.

Au fil du temps, votre cheval devient irascible. Il fait peu de cas de votre présence dans le box, vous bouscule, ne vous écoute plus…

Chaque fois que vous vous approchez de lui, vous sentez qu’il a peu de plaisir à vous voir arriver. Il couche les oreilles, fouaille de la queue…

Il semble moins joyeux près de vous.

Vous êtes de plus en plus attentif à ses gestes et déplacements, de peur d’être écrasé… comme aujourd’hui, où vos orteils ne vous remercient pas !

Vous n’êtes plus son leader. Les limites hiérarchiques sont devenues floues. Votre cheval prend le pas sur votre autorité.

Toutes ces réactions s’appellent le manque de respect.

Dans la nature, les chevaux se battent pour rétablir cette hiérarchie vitale pour eux.

De là à ce qu’il réagisse de la sorte avec vous, il n’y a qu’un pas…

 

Je vous sens perplexe… Vous n’y croyez pas… Votre cheval est tellement gentil !

Oui, mais c’est un cheval ! Qui a un instinct ! Que vous vous devez de connaître !

Pour que le plaisir d’être ensemble reste intact… et sans danger !

Pour cela, apprendre à communiquer avec lui établira la compréhension mutuelle.

Dans la jungle des techniques de communication, je vous détaille les 5 principales.

Des plus évidentes aux plus ésotériques.

Vous allez ainsi découvrir quelle communication avec votre cheval vous convient le mieux, et garder la relation d’harmonie précieuse qui vous relie.

En apprendre plus sur lui… et sur vous-même !

Communiquer, pour quoi faire ?

 

Lorsqu’un cheval est bien dressé, comme un cheval de club, par exemple, que le cavalier est un consommateur de cours ou de concours, communiquer avec son cheval n’apportera pas plus au cavalier qu’un motard voulant communiquer avec son engin.

Devenir son leader :

Pourtant, l’envie d’aller plus loin, de considérer sa monture comme un être vivant à part entière, peut pousser à vouloir s’intéresser à ses besoins, au-delà de la seule satisfaction immédiate des nôtres.

En faire un partenaire de travail, de jeu, de loisirs qui participe à nos actions avec bonne volonté et l’envie de nous suivre.

Qui n’a jamais été admiratif face à la complicité cavalier-cheval ?

La possibilité de monter sans mors, sans cordelette, sans selle, de faire revivre le mythe du Centaure ?

Arriver à une telle connivence est l’aboutissement d’un travail de communication de longue haleine. Il ne s’est pas fait au hasard, mais sur une volonté réciproque de se comprendre et d’apprendre de l’autre.

Cette harmonie que l’on recherche avec sa monture se base sur deux principes :

1) connaître le mode de communication du cheval, sa nature, ses réactions innées : connaître sa condition de proie (que je détaillerai dans un article à venir : inscrivez-vous ici pour être informé des prochaines publications de go-galop)

2) utiliser un langage de communication qui sera compréhensible pour le cheval.

Parler ce langage cheval reviendra à se positionner comme son leader.

 

Attention ! Au-delà de la satisfaction égotique de cette situation se pose aussi une grande responsabilité : le leader est, dans la harde, le garant de la sécurité. Il décide du déplacement du troupeau pour la préservation de cette sécurité.

Tous les autres membres de la harde lui accordent une confiance aveugle et lui confient leur vie.

C’est un grand pouvoir que d’avoir la vie d’un cheval entre ses mains. Il vous la remet de son plein gré, car il vous considère comme celui qui saura le protéger. Cela demande un grand discernement de votre part.

« Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités » disait notre ami spider man

Partant de ces bases, la communication se fera sans peur, sans violence, et le cheval répondra volontairement, généreusement à nos demandes, une fois qu’il les aura comprises clairement, parce qu’il vous fera confiance.

Comprendre son cheval :

Pouvoir identifier son état émotionnel et ses intentions.

En général, la posture et la tonicité renseignent sur la santé et l’état émotionnel d’un cheval. Le cavalier doit ainsi se montrer attentif à ces signaux pour connaître l’état global de sa monture.

Et un leader doit comprendre les messages de son cheval. On y revient…

Le cheval suggère, demande, dit puis exige.

Si le cavalier ne sait pas « lire » son cheval, il ne détectera pas les signes de douleur ou d’inconfort émis par ce dernier. Ces signaux seront donc totalement ignorés et passeront de très subtils à trop visibles (violence ou réticence).

On les nommera alors : « problèmes de comportement du cheval ». Ils justifieront l’usage d’aides moins discrètes ou d’un dispositif d’harnachement ou d’enrênements beaucoup plus sévère.

Où en est-on de la légèreté et de l’harmonie tant rêvée, arrivé à ce niveau de manque de communication ?

La communication que l’on nous enseigne en centre équestre

La voix : 1ère façon de communiquer avec son cheval

Au-delà des simples mots que l’on apprend tous au cheval (recule – avance – marche – trotte – galope…), il est à noter que le cheval est aussi sensible à notre intonation et notre intention. Ainsi, des mots dénués de sens, émis avec un ton enjoué, satisferont le cheval, content d’avoir exécuté un exercice sans se tromper.

Il est possible de lui enseigner des mots, issus de notre lexique qu’il peut comprendre.

Un ouvrage existe sur le sujet : « Parler au cheval et être compris ». L’originalité de ce livre est de nous proposer un dictionnaire « cheval-français / français-cheval » !!

 

Son auteur, Danièle Gossin, explique qu’elle a pu enseigner à un cheval « le sens et la mémorisation de 181 termes combinables en différentes phrases ».

Cela lui a tout de même pris plusieurs années !!

Donc, cela est possible, sans vouloir atteindre le niveau d’une conversation entre amis autour d’un thé et de petits biscuits. Et c’est ce qui se produit dans une moindre mesure lorsqu’on éduque son cheval à la voix, comme les débardeurs qui travaillent dans les bois avec des chevaux de trait, ou les meneurs avec les chevaux d’attelage.

Les aides tactiles : mains – jambes – assiette : 2ème façon de communiquer avec son cheval

Je ne m’attarderai pas sur ce mode de communication, enseigné en centre équestre.

Il permet au cheval d’exécuter de façon plus ou moins heureuse les demandes qui lui sont faites par le cavalier.

Jambe intérieure à la sangle, jambe extérieure reculée, main intérieure en rêne d’ouverture, main extérieure tenant les épaules.

Vous avez tous entendu ça si vous y avez traîné un jour vos guêtres.

Peut-on parler de communication, d’échange, lorsque cette technique est utilisée pour que le cheval exécute ce qu’on lui demande ?

Il me semble qu’à ce niveau, le point de vue du cheval est peu, voire pas pris en compte. Mais ce n’est que mon avis. Le débat reste ouvert…

La communication non-verbale :

Le cavalier s’emploie à ce type de langage plus volontiers avec un cheval dont il a la garde régulière ; propriété ou demi-pension. C’est qu’à ce niveau, la qualité de la relation est aussi importante que vouloir progresser techniquement.

La longe – les longues rênes – le travail en main… : 3ème façon de communiquer avec son cheval

Apprécié ou non, harnaché ou caveçonné, avec ou sans mors, pour ceux qui le pratiquent, c’est un bon exercice de parler-cheval et se faire comprendre. Il permet aussi de prendre conscience de la position de son corps par rapport à celui du cheval.

Ce travail affine la compréhension mutuelle par la mise en place d’outils de communication utilisant la voix et le langage du corps.

Par la répétition, se met peu à peu au point un alphabet, une langue, parfaitement comprise par le cheval, car elle fonctionne comme celle du troupeau.

Le langage du corps ou parler-cheval : 4ème façon de communiquer avec son cheval

C’est celle qu’il connaît le mieux. Il l’emploie au naturel avec ses congénères.

Vivant en groupe, le cheval utilise tous ses sens, constamment en éveil, pour communiquer avec les autres.

Les informations sont transmises par des parades, des mimiques, des postures… ainsi que des mouvements au niveau de chaque partie de son corps : naseaux, queue, oreilles, position de l’encolure… révélant la complexité et la richesse de ce mode de communication.

Ce langage nécessite une grande conscience de soi dans l’espace.

Le cavalier s’oblige à être totalement focalisé, concentré, dans l’instant présent sur son corps. L’objectif étant de savoir à chaque seconde, où est son corps, où sont ses membres, et quels gestes ils font.

Lorsque notre corps est raide ou peu coopératif, nos mouvements sont désordonnés ou mal pensés. Nous sommes obligés de prendre conscience de ces blocages et de travailler sur nous-mêmes pour les lever.

Le langage du corps, ne consiste pas qu’en un geste ou une posture. Nos gestes inconscients sont aussi décryptés par le cheval, mieux que par nous-mêmes (bah oui… s’ils sont inconscients…) !

Pour émettre un message totalement cohérent, notre geste conscient doit être accompagné d’une intention forte en rapport avec le geste effectué. On contre ainsi l’inconscient.

Si les deux sont contradictoires, le cheval ne réagira pas, ou pas comme on voudrait, car il ne comprendra pas.

Essayez de demander à un cheval d’avancer, alors que vous n’êtes pas persuadé qu’il le fasse… À votre avis, avancera ou n’avancera pas ??

Cette intention, dans laquelle il faudra mettre tout son énergie, implique d’avoir à maîtriser ses émotions, vaincre ses peurs, se remettre en question, pour que le message émis vers le cheval soit le plus cohérent possible.

 

En tant que référent de votre cheval, vous devez connaître certaines règles de comportement du chef et vous comporter comme tel :

  • Il faudra capter l’attention du cheval.

C’est une notion à ramener à un fonctionnement simple : celui qui contrôle l’attention d’un cheval est celui qui contrôle ses mouvements. Cela signifie que c’est lui qui doit être attentif à vos déplacements dans le box et non l’inverse.

Si nous voulons rétablir notre leadership, nous devons le « faire bouger » et non pas le punir. Nous captons ainsi à nouveau son attention dans l’instant.

  • C’est vous qui faites bouger les pieds de votre cheval.

Il doit s’écarter sur votre passage, et quoi qu’il arrive, (dans la mesure normale des choses, car s’il arrive vers vous plein galop, je vous mets au défi de ne pas bouger ! !) vous ne devez pas reculer lorsqu’il bouge autour de vous.

Mais attention : contrôler ses mouvements ne signifie en aucun cas les contraindre !

  

  • Il faudra le pousser et non le tirer pour qu’il bouge

Un geste de traction, apparenté à une agression, provoque une mise en opposition de défense. Tirer au renard en est la plus belle illustration.

La pression est naturelle pour lui. C’est la manière dont les dominants du troupeau l’ont fait bouger depuis sa naissance.

  • Il faudra graduer ses demandes

Le « suggérer – demander – dire – exiger » du chef de la harde deviendra chez vous le fameux « poil – peau – muscles – os » utilisé en équitation éthologique !

Le horsemanship :

Qu’on le nomme travail de chuchoteurs ou équitation éthologique, ses fondations se basent sur le même principe : se poser en tant que leader du cheval en utilisant son langage et son comportement pour se faire comprendre. Il découle naturellement de toutes les notions citées au-dessus.

Élaborées et mises en application après observation et interprétation du comportement et des gestes des chevaux au naturel, ces méthodes reposent donc sur comprendre la psychologie et le langage corporel du cheval parmi ses congénères et s’en servir pour communiquer avec lui.

Tel un chef de harde, être homme ou femme de cheval, c’est se montrer toujours juste et cohérent, faire preuve d’empathie et garder son calme en toutes circonstances.

D’après Monty Roberts, pape du horsemanship, pour travailler efficacement avec les chevaux, il faut apprendre à maîtriser ses propres angoisses, on doit être calme pour que le cheval le soit aussi. Il faut surmonter sa peur de l’échec, et réaliser qu’une erreur n’est jamais qu’une occasion d’apprendre. Et essayer, à la leçon suivante, de ne pas la réitérer.

Il enseigne à ses adeptes que leur épanouissement personnel joue un rôle essentiel dans leurs progrès équestres.

Pat Parelli, cardinal en chef du horsemanship, lui, considère que si l’on peut acquérir suffisamment de contrôle de soi (physiquement, mentalement, émotionnellement), on peut se servir de la psychologie équine pour communiquer ses désirs au cheval.

Sa méthode a pour concept d’enseigner à l’homme comment enseigner au cheval et passe par l’épanouissement personnel des élèves, en les encourageant à repousser leurs propres limites mentales, émotionnelles et physiques au fur et à mesure des niveaux d’apprentissages.

Élisabeth de Corbigny, figure féminine du horsemanship (la papesse, et fer de lance en France de l’american horsemanship de John Lyons), nous explique que « nous devons faire l’effort d’apprendre le langage des chevaux, d’étudier et de reproduire leur mode de communication. »

Nous devons donc apprendre à « penser-cheval ». Pour ce faire, elle explique la nécessité de travailler sur nous-mêmes pour améliorer nos qualités et minimiser nos points faibles :

  • Augmenter notre capacité de concentration
  • Développer notre capacité d’observation
  • Améliorer nos réflexes physiques
  • Contrôler notre corps
  • Améliorer nos réflexes mentaux
  • Contrôler nos émotions
  • Faire taire notre ego
  • Considérer le point de vue du cheval

En définitive, ce sont les chevaux qui nous éduquent et nous dressent, car nous devons faire beaucoup d’efforts sur nous-mêmes pour réussir à communiquer avec eux.

Communiquer par images mentales :

La communication dite « intuitive » : 5ème façon de communiquer avec son cheval

C’est un mode de communication qui existe chez tous les êtres vivants.

Un dialogue entre l’être humain et l’animal qui se base sur des images, sensations physiques, émotions, certitudes. Ces projections peuvent aller jusqu’à toucher l’un de nos 5 sens (sensations, bruits, odeurs, goûts…)

Les perceptions diffèrent selon la sensibilité de l’humain et de l’animal.

La particularité de cette forme de communication est qu’elle peut s’exercer en présence de l’animal, mais aussi lorsque ce dernier est loin, voire décédé.

L’entrée en relation se fait simplement. Pas besoin de transe ni de danse chamanique autour d’un feu sacré ou d’incantations rituelles ! Ce n’est pas de la magie !

La personne désirant communiquer doit arriver à mettre son cerveau en mode « alpha ».

L’état « alpha » est le mode d’émission des ondes cérébrales de notre cerveau, lorsque nous nous trouvons dans cet état d’entre-deux entre veille et sommeil. Sinon, au quotidien, nous fonctionnons dans un état « bêta ».

Les animaux vibrent TOUS constamment sur cet état « alpha ». Ils ont une excellente intuition. On ne leur a pas appris que cela n’existait pas et ils ne sont pas limités par notre conditionnement culturel.

Mais lorsque nous arrivons à être « sur la même longueur d’ondes » avec les animaux, le contact peut alors s’établir.

Que l’on y croie ou pas, nous devons bien admettre que ce phénomène existe et a même été étudié selon des protocoles scientifiques.

Je vous renvoie aux travaux de Rupert Sheldrake, avec la chienne Jaytee.

La lecture de ces témoignages pousse aussi à se poser quelques questions et faire vaciller quelques certitudes.

Les bénéfices de l’état « alpha » :

Cet état cérébral a pour bénéfice secondaire de faire diminuer notre flux de pensées parasites. Vous savez, le petit hamster qui court dans sa roue dans notre tête ?

Notre concentration s’améliore, le monde s’arrête autour de nous, nous sommes dans l’instant présent et plus rien d’autre ne compte que nous et notre cheval : nous sommes dans notre bulle !

En équitation éthologique, il est beaucoup question de focus : se concentrer au maximum sur ce qu’on veut obtenir, plutôt que regarder ailleurs, bavarder ou surveiller ceux qui nous observent.

Le focus oblige le cerveau à construire une image mentale très précise du mouvement que l’on veut obtenir. Il est également question ici de « perception intuitive des pensées » par le cheval.

Notre corps, par son langage, fera automatiquement ce qu’il faut pour suivre notre intention de départ. Il prendra une posture qui exprimera notre pensée, et le cheval saura « lire » les deux : notre image mentale ainsi que notre langage corporel.

N’étant pas en contradiction, le message sera clair et compréhensible pour le cheval, qui répondra alors correctement à notre demande.

C’est-à-dire qu’avant de lire le langage corporel qui précède l’action, il va percevoir la pensée correspondante.

Pour plus de précisions sur l’équitation éthologique et la communication par images mentales, je vous renvoie à l’article de Laurent : « Le secret jamais révélé de l’équitation éthologique ».

Comment communiquer de cette façon ? :

Pas besoin d’attitude ni de rituel particulier. Le mode « alpha » est un état d’être que tout le monde peut atteindre.

Plusieurs techniques s’offrent à vous :

  • lecture de livres sur le sujet (quelques auteurs des plus connus : Laila del Monte – Anna Evans – Marta Williams – Clothaire Guérin…)
  • faire un stage d’initiation
  • faire de la méditation et des exercices de respiration pour s’exercer à calmer le flux de ses pensées et se focaliser sur l’instant présent avec son cheval.

Il se peut que vous y soyez parfois sans le savoir, lorsque vous êtes à ses côtés. Le cheval est réputé pour nous faire du bien lorsque nous le côtoyons. C’est sûrement parce que sa présence transforme notre état d’être, nous fait oublier tout le reste et nous apporte les mêmes bénéfices qu’une méditation.

En conclusion :

L’équitation est le seul sport (Je ne tiens pas compte de la course d’autruches qui n’est pas si répandue que ça…) dont les résultats dépendent du niveau de connexion entre deux êtres vivants qui évoluent ensemble. Cette connexion est primordiale pour pouvoir progresser dans le temps.

Elle peut-être juste unilatérale, lorsqu’enseignée en centre équestre, et aller jusqu’au dialogue (sortez les petits gâteaux !…).

Dans ce dernier cas la communication est comme une forme de travail sur soi du cavalier qui vise à contrôler son état d’esprit et sa façon d’appréhender son partenaire équin.

Il en ressort une relation plus équilibrée, plus fluide, plus sereine, plus harmonieuse, ainsi que les résultats qui en découlent.

Et vous, quelle est la communication que vous avez avec votre cheval ?

Faites-moi part de vos remarques et questions dans les commentaires. Je me ferai un plaisir de vous répondre !

Valérie de Go Galop

Si vous ne l’avez pas encore, téléchargez mon e-book gratuit « Comment vaincre sa peur de monter à cheval » en inscrivant votre adresse e-mail sur mon site : https://go-galop.com.

Sources images :

  • Image 1 : travis-colbert-PAYkzyi6vo-unsplash.com
  • Image 2 : sarah-olive-Tgl7QuHRIDM-unsplash.com
  • Image 5 : https://incorrect.skyrock.com/photo.html/id_article=2121824111&id_article_media=-1

 

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